Je suis né à Larmor Plage, je suis plus près des 70 que des 60, en vérité, à partir de là, l’âge ne compte plus. J’ai d’abord pratiqué la radiesthésie sous toutes ses formes puis le massage sonore. Quand on me demande la logique entre ces deux disciplines, je réponds que c’est une affaire d’énergie.
Plus explicitement, l’énergie est une force dont l’immense avantage est que chacun en dispose. L’énergie est gratuite. On peut en profiter toute sa vie à condition bien sûr de l’apprivoiser et de l’entretenir. Elle est fragile. L’énergie est un sujet merveilleux tout autant que mystérieux, il nous faut simplement l’accepter.
Avec un peu de clairvoyance, j’ai la conviction que cette « énergie » aura façonné ma vie de praticien énergétique. A partir de 12 ans j’ai pratiqué l’énergie compensatoire, à 18 ans expérimenté l’énergie du désespoir et maintenant l’énergie jubilatoire. Aujourd’hui je la transmets et vous invite à (re)conquérir la vôtre.
Pourquoi une énergie compensatoire ? Ne réussissant pas à l’école, en échec quotidien et permanent, j’ai compensé en me réfugiant dans un monde parallèle pour ne pas tomber en dépression. La dépression à 12 ans ! J’ai eu une enfance dure durant laquelle je n’ai cessé de compenser en déployant une énergie folle, une énergie de tous les instants … juste pour exister.
J’ai découvert l’énergie du désespoir dès 1971, lors d’un naufrage, récupéré par un cargo après de très longues journées et nuits à lutter pour ne pas mourir. J’ai réitéré « l’expérience » quelques années plus tard lors d’une intervention chirurgicale mal contrôlée qui m’a plongé dans le coma pendant plusieurs jours. J’ai aussi eu « la peur de ma vie » pendant la première Route du Rhum à laquelle je participais, en 1978, lors de la tempête qui a vu la disparition d’Alain Colas. J’ai eu la chance d’être récupéré par Charles Claden, dit Carlos, un homme d’une énergie redoutable à faire reculer les évidences, qui a poursuivi sa carrière de sauveteur en mer comme commandant des remorqueurs Abeilles sur le rail d’Ouessant, au large de la pointe Bretonne.
Enfin, depuis 10 ans, je vis une énergie jubilatoire après un « burn-out » professionnel. D’abord chef d’entreprise dans la confection dans les années 80, puis consultant marketing pendant 30 ans, j’ai réussi à épuiser toute mon énergie. Triste record. Je me suis reconstruit il y a une dizaine d’années en tant que responsable commercial et du suivi constructif de maisons à ossature bois pour le compte de l’une des plus belles entreprises de Bretagne. Ce fut pour moi le début de la jubilation.
Voir mon parcours en radiesthésie et techniques vibratoires.
Si je devais aujourd’hui mettre mon activité dans une case (on me le demande souvent), je dirais que je suis énergéticien par la radiesthésie et la fasciathérapie. Mais cette thérapie douce est tellement nouvelle qu’elle demanderait pas mal d’explication. Pour vous faire une idée de cette spécialité, vous pouvez visualiser une vidéo en cliquant ici. Voir aussi l’article Passeport Santé
Pour essayer de comprendre ce qu’est l’énergie, en mesurer la portée et les bienfaits, on peut partir de propos comme : « Je l’ai fait sans le vouloir … » « Je ne sais pas pourquoi j’y suis arrivé … ». Ils définissent les interactions, on peut même dire la dépendance énergétique d’un individu à son milieu.
Les massages sonores avec les bols Tibétains ont pour résultat de rétablir cette liaison entre nous et notre milieu, entre les pensées et le corps, entre soi et soi. L’action thérapeutique se situe sur ces 3 plans. Elle est complétée en séance par l’utilisation de plusieurs instruments vibratoires tels les cloches tubulaires et les diapasons …
Je vous invite à faire circuler l’énergie et à la stocker pour les jours de grande disette. A bientôt.